Photo #2
Le ministère de la Milice et de la Défense a fourni les 2 000 gardes requis pour assurer les fonctions de sentinelle, superviser les unités de travail d'internés et surveiller les prisonniers du camp. Certains gardes trop jeunes ou trop âgés n'étaient pas aptes à aller se battre en Europe. Archives de l'université Queen's, Fonds A.A. Chesterfield |
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Date de création : le 29 septembre 2014