En 1918, le Corps canadien possédait déjà de solides capacités d’ingénierie lui permettant d’appuyer l’infanterie. Douze bataillons de génie travaillaient à construire des routes et des ponts, trouver des sources d’eau et éliminer les explosifs posés par l’ennemi. Sans ponts pour faire traverser l’artillerie et les chars, il aurait été impossible de mener l’assaut sur le canal du Nord.

Collection d’archives George-Metcalf
Musée canadien de la guerre
19930012-812
Colorisation par Canadian Colour

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